vendredi 28 février 2014

Portraits de colistiers: Joëlle HUGUENY, engagée pour faire entendre la voix des autres

Joëlle Hugueny, engagée pour faire entendre la voix des autres

Joëlle Hugueny, 62 ans, habite Vaugneray depuis 30 ans, professeure des écoles.

Originaire de Périgueux Joëlle a fait ses études à Bordeaux avant de démarrer sa vie professionnelle dans le domaine bancaire. Très vite, elle a intégré l’Education Nationale en débutant dans une école de déficients visuels à Villeurbanne où elle a œuvré jusqu’en 1988 avant d’être nommée à l’école publique de Vaugneray jusqu’en 2005.
Elle a choisi alors de venir s’installer dans la ferme de ses grand-parents maternels auxquels elle voue une immense admiration pour l’engagement dont ils ont fait preuve durant la période de la 2e guerre mondiale.

Depuis toujours, Joëlle porte un grand intérêt aux conditions de vie dans la société et à l’émancipation des hommes. Le contact avec autrui, le désir d’apporter sa contribution au bien être des personnes en difficultés fait partie de son quotidien. C’est ce qui l’a amené naturellement à militer syndicalement et politiquement. Ayant déjà fait acte de candidature aux élections municipales et cantonales, son implication dans la liste d’Union pour l’Avenir est, pour Joëlle, la suite logique de son engagement pour la commune de Vaugneray.

Depuis quelques années, le regard de Joëlle sur la commune a évolué. Joëlle pense que l’agrandissement du village par la construction de nouveaux quartiers rend nécessaire la mise en place de conseils de quartiers afin que les habitants soient incités à participer aux diverses manifestations.

Fervente partisane de l’expression populaire, Joëlle voit dans la mise en place de la démocratie participative un atout à développer pour mieux intégrer les nouveaux habitants et prendre en compte l’avis des plus anciens. Joëlle a décidé de s’engager avec Joëlle Chamarie dont elle partage les idées pour participer à la mise en œuvre du programme  qu’Union pour l’Avenir propose aux Valnégriens.

Nous sommes dans Le Progrès du 28 février!

Voici l'ordre de la liste Union Pour l'Avenir:

1.   Joëlle Chamarie -2.   Olivier Beau  -3.   Cécile Prévost -4.   Antoine Gianina  -5.   Carine Berny  -6.   Jean-Luc Bibos  -7.   Joëlle Hugueny  -8.   Jean-Jacques Moreau  -9.   Ghislaine Fromm  -10.    Etienne Faveeuw  -11.    Dominique Dupont  -12.    Matthieu Verpillat  -13.    Annie Ramel  -14.    Franck Chauveteau  -15.    Josiane Hidouci -16.    Gilles Allory  -17.    Brigitte Chambournier   -18.    Xavier Demollière  -19.    Anne-Marie Pflieger -20.    André Montagny  -21.    Véronique Poirieux  -22.    Philippe Berny  -23.    Brigitte Régis-Moreau  -24.    Jean-Claude Bodard - 25.    Martine Bilinski-Allory  -26.    Noël Badoil  -27.    Evelyne Cilla
 

Nos réponses aux questions du journaliste, Fabrice Dufaud:
Comment avez-vous constitué votre liste ?

Nous n’avons pas eu de difficulté à établir cette liste. De nombreuses candidatures spontanées nous ont été adressées. Nous avons retenu les 27 plus motivés. Établir un ordre a été difficile, mais il y a eu un accord collectif. On est tous tombés d’accord. Nous avons bâti notre programme ensemble, chacun a apporté sa pierre, et j’en suis très fière.

Qui sont vos colistiers ?



Ils ont entre 25 et 77 ans, avec une moyenne d’âge de 55 ans. Nous avons beaucoup de jeunes en bonne position. C’est une véritable liste plurielle avec des personnalités très diverses et de très bons CV. Mes colistiers ont des profils de compétences économiques, environnementales et sociales. Nous avons des gens impliqués dans des domaines très divers, par leur profession ou leur passion. Ainsi, nous couvrons tout le panel de ce qu’il faut traiter dans une commune.

Quelle est votre tendance politique ?

Nous n’avons pas de tendance politique. Nous n’avons pas de comité de soutien. Nous avons reçu de nombreuses propositions de la part de conseillers généraux ou régionaux et de maires du secteur, mais nous les avons refusées. Nous représentons la totalité des habitants, pas seulement ceux qui voteront pour nous. Pour le dépôt de la liste en préfecture, nous sommes assimilés divers gauche. Nous avons trois encartés. Deux PS et un PCF. Nous ne le cachons pas. Deux sont bénévoles aux Restos du cœur, le troisième donne des cours d’alphabétisation pour le compte des Petits frères des pauvres.

jeudi 27 février 2014

Les transports sont un instrument d'intégration, Monsieur le Maire l'ignore!

Les transports ne servent pas seulement à gagner du temps, ils sont un instrument d’intégration des personnes exclues, en particulier des personnes en situation de handicap.
Cet aspect a été complètement balayé par Monsieur le maire de Vaugneray ! La navette Venet et les Cars du Rhône ne sont pas accessibles aux personnes en situation de handicap. Les bus du Sytral l’étaient. Quel retour en arrière lourd de signification dans la manière de considérer les administrés !
La commune paie plus cher un service médiocre, sur NOS impôts (20 000 euros par an de plus que ce qu'aurait coûté l'adhésion au Sytral! - voir les articles du blog du 26 février), uniquement pour favoriser les grosses entreprises. Il ne s’agit pas de les aider à embaucher, ne soyons pas naïfs. Le prétexte est éventuellement d’éviter qu’elles ne débauchent… Cela ne vous rappelle-t-il pas un discours bien dans l’air du temps?
Ci-dessous un article tiré d’Enviscope du 24 février, pour prolonger la réflexion :

« Les transports ne servent pas seulement à gagner du temps, à raccourcir les distances. Ce n'est en tous les cas pas suffisant pour créer une ville citoyenne et durable. Les transports sont un instrument parmi d'autre d'intégration des personnes exclues, en particulier des personnes en situation de handicap.
La troisième conférence des Savoirs organisée dans le cadre des Rencontres scientifiques Nationales de Bron, s’est déroulée le 18 février  dans la nouvelle Médiathèque Jean Prévost, à Bron. Les conférences ont pour thème la Ville durable et citoyenne. La rencontre avait pour thème les inégalités dans le système de transport.
Caroline Gallez,  du Laboratoire Ville, mobilité, transport, de l’IFSTTAR, à Marne la Vallée, a abordé la question de l’accès à la ville, à la mesure de l'accessibilité, aux inégalités d’accès, pour proposer des pistes pour l'action publique.
Depuis  les années 90, la difficulté d'accès à la ville est perçue comme un risque d’exclusion.  «  Pour gérer les problèmes d’exclusion, on a mis en place une politique de rénovation urbaine, ciblée sur des quartiers  dits sensibles. Les aides à la mobilité ont été présentées comme utiles pour lutter contre le chômage dans ces quartiers »
L’accès à la ville, souligne Caroline Gallez, c'est l'accès au logement, aux transports, aux services publics, aux commerces, aux équipements, à l'espace public. L'accessibilité se mesure donc par la possibilité d'accès à toutes ces ressources. Tout dépend de leur répartition, du fonctionnement des transports, des emplois du temps des catégories individuelles.
Des gains de temps annihilés
En général, les politiques de transport, visent à réduire le temps nécessaire à relier deux points. La rapidité est le critère principal. Mais, la chercheuse de l’IFSTTAR met en évidence un paradoxe : plus on développe les transports, plus on incite les personnes à s’éloigner, plus on favorise l’étalement urbain, et finalement, plus les gains de temps sont annihilés.
Développés avec comme objectif principal la réduction du temps, les transports peuvent générer  des effets pervers. Ils entrainent la réalisation d’infrastructures, qui elles-mêmes entrainent des coupures dans les milieux, des nuisances pour des personnes qui ne bénéficient pas des infrastructures. Les transports génèrent aussi des pollutions, nuisibles à la santé.
Les limites des approches actuelles, Caroline Gallez les résume en expliquant qu’on ne cherche pas à identifier les gagnants et les perdants. On pense aussi d’une manière simple qu’il suffit de bouger pour s’en sortir, et les inégalités sociales ne sont pas prises en compte.
Pour les personnes en situation de handicap, la situation semble plus simple à saisir, le problème plus circonscrit à des catégories identifiables objectivement. Même si chacun peut à tout moment être en situation de handicap : une personne momentanément à mobilité réduite, une femme enceinte, une personne âgée.
Aline Alauzet, du laboratoire LESCOT rappelle qu’il importe de remplacer « handicapé » ou personnes handicapée »,  par «  personnes en situation  de handicap ». Les personnes « handicapées »  sont en situation de handicap dans un environnement précis. Les actions peuvent donc être entreprises à des niveaux divers, au niveau de la personne, de son équipement, au niveau de l’environnement physique, au niveau de l’information. »

Les Rencontres Scientifiques Nationales de Bron, sont organisées par la Commune de Bron, et l’Institut Français des Sciences et Techniques des Transports, de l’Aménagement et des Réseaux (IFSTTAR).

Portrait de co-listiers: Jean-Jacques MOREAU, l'apiculteur engagé!



Jean-Jacques MOREAU,  l'apiculteur engagé!

Jean-Jacques MOREAU, 58 ans, habite Vaugneray (Le Vallier) depuis 9 ans. Retraité de EDF-RTE.

Marié et père de 5 enfants, Jean-Jacques est 3 fois grand-père.

Sa carrière chez EDF l’a mené au Havre, à Blois puis Paris et pour finir à Lyon. Après 15 ans dans l‘exploitation technique et la conduite de centrales électriques, Jean-Jacques s’est orienté dans le domaine de la formation et des ressources humaines.

Ce profond attachement à l’humain l’a conduit à s’impliquer dès l’adolescence dans la vie sociale à travers un mouvement lycéen, puis plus tard dans l’action syndicale et aussi dans l’action humanitaire en oeuvrant au sein d’une ONG à l’électrification d’écoles et de dispensaires en Afrique et dans des associations d’aide à la personne.

Apiculteur amateur, ayant grandi dans une ferme du Berry, Jean-Jacques est venu s’installer à Vaugneray il y a 9 ans pour être proche d’une nature, essentielle à ses yeux, tout en bénéficiant de la proximité de Lyon où il se rend pour visiter des expositions ou assister à des concerts .

Jeune retraité, dynamique et sportif, Jean-Jacques a décidé de s’engager au côté de Joëlle Chamarie dans l’équipe d’Union pour l’Avenir pour mettre en œuvre notre nouveau programme pour Vaugneray et faire bénéficier les Valnégriens de son expérience dans le domaine de l’action sociale.

mercredi 26 février 2014

Un tissu de contre-vérités et d'approximations!

Voici ce qu'on peut lire sur le blog du maire, en "chapeau" de la question des transports:

"La question des transports a été difficile. Devant l'attitude fermée du Président du Sytral, refusant toute solution de bon sens, après sa décision de supprimer la ligne C24, il a fallu trouver une alternative avec le Département. Aujourd'hui un nouveau service existe avec ses avantages et ses faiblesses. La loi prévoit qu'à partir du 1er janvier 2015, une entité unique  organisera, sur l'ensemble du territoire de la  Métropole et  du nouveau Département,  tout le transport par lignes régulières et scolaires, avec une tarification unifiée, ce qui était notre souhait depuis longtemps."

En 6 lignes, Monsieur le maire accumule contre-vérités et approximations:

- Une bonne fois pour toutes, le président du Sytral n'est pas à l'origine de la suppression du C24! C'est la Chambre régionale des comptes qui a enjoint au Sytral de ne plus assurer le service des communes hors de son périmètre de transports urbains, car les entreprises de ces communes n'étaient pas assujetties au versement transport concernant les entreprises de plus de 10 salariés. Et ceci en vertu du principe d'égalité devant l'impôt.

D'ailleurs l'attitude d'une personne et les problèmes d’ego ne concernent pas les habitants. Un élu ne doit  penser qu'à l'intérêt général de la population. Le président du Sytral a eu la même attitude et les mêmes propositions envers Brindas, Grézieu, Thurins, Messimy, Ste Consorce et Chaponost, qu'envers Vaugneray!

-l'entité unique qui couvrira tout le territoire du Rhône actuel n'est autre que le Sytral! Il portera le nom de Sytral E (E pour étendu)

- la tarification ne sera pas unifiée!  Il y aura 3 zones: 
 1 -le périmètre actuel du Sytral avec les communes qui ont adhéré en 2012 et 2013;
 2- la CAVIL (communauté d'agglomération de Villefranche) et la CCEL (Communauté de communes de l'est lyonnais). La CCEL pourrait d'ailleurs adhérer au Sytral dès cette année.
3 - le reste du département, soumis au régime des transports non urbains, dont Vaugneray fera partie.

-le versement transport (VT) des entreprises sera différent dans chacune de ces zones, et le service également. A versement transport au taux de 1,75% de la masse salariale (zone 1 et peut-être zone 2), service fort. A versement transport au taux de 0,5%, service faible (zone 3, la nôtre)

Peut-être est-ce ce service faible que le maire souhaite "depuis longtemps" pour Vaugneray, car il correspond en fait à sa vision de la commune? Au moins nous sommes maintenant informés... La situation était meilleure dans les années cinquante...





Réponse à Monsieur le Maire de Vaugneray sur "un développement précis de la situation des transports"

Nous reprenons ci-dessous dans son intégralité le texte paru dans le blog du maire de Vaugneray (http://daniel-jullien.over-blog.com/), car nous ne pouvons pas laisser passer ces affirmations sans réagir.
 En rouge, les précisions que nous apportons pour que l'électeur soit correctement informé.
Nous sommes conscients de la longueur de cet article, et de l'attention qu'il faut pour le digérer, mais l'enjeu est d'importance!
Nous vous demandons de faire circuler un maximum cette mise au point.
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"Un développement précis de la situation des transports"

Quelques dates du déroulé de la question :

9 novembre 2004: délibération du Conseil Général lançant l'étude d'un site propre entre Gorge de Loup et Vaugneray
Le Sytral réfléchissait depuis longtemps à un projet de site propre entre Gorge-de-Loup, Francheville et Craponne. Le Conseil général, membre du Sytral, n’a fait que rejoindre et prolonger cette démarche.

2006: groupe de travail créé  entre le Sytral, le Conseil Général, les communes concernées et la CCVL en vue de la réalisation d'un site propre pour améliorer le temps de parcours entre Vaugneray et Gorge de Loup.
Le terminus de LEOL se situe actuellement à Grézieu-la-Varenne, alors qu’il était prévu initialement à Vaugneray…

2007: 1ere délibération de la CCVL demandant son adhésion au Sytral et la poursuite des discussions sur les modalités d'adhésion.
Septembre 2008: lancement d'une étude complémentaire par la CCVL d'une offre de transport adaptée aux communes de son territoire.
Il serait intéressant de rappeler les conclusions de cette étude complémentaire et, en particulier  les différences de besoins qui ont été pointées selon les communes (transports de type urbains jugés nécessaires pour une commune comme Vaugneray)

Début 2009: le Sytral sollicite fortement la CCVL pour qu'elle adhère. Rapidement dans la négociation, est introduite la perspective de suppression du service TCL en cas de non adhésion. Cette « introduction » provient d’une injonction de la Chambre régionale des comptes, qui relève que les entreprises de la CCVL n’étant pas assujetties au versement transport alors que celles du périmètre du Sytral le sont, il y a rupture de l’égalité devant l’impôt.

Même démarche auprès de la CC Vallée du Garon et de la CC de l'Est Lyonnais.
5 février 2009: vote de la CCVL modifiant ses statuts pour la prise de compétence transport urbain.
20 avril 2009: approbation par la commune des statuts de la CCVL.
16 juillet 2009: lettre du Préfet au Président de la CCVL précisant qu'il est nécessaire, avant la prise de compétence de créer un Périmètre de Transports Urbains (PTU) spécifique avec un versement transport demandé aux entreprises qui ne peut excéder 0,5% de la masse salariale au lieu de 1,75% dans le PTU du Grand Lyon. Cette solution n'a jamais été souhaitée par le Sytral. Le Préfet a demandé la création  d’un PTU mais n’a pas imposé le taux du versement transport. Fort de l’injonction de la Chambre régionale des comptes, le Sytral ne pouvait pas accepter un taux différent de celui appliqué sur son PTU. Le préfet n'a jamais donné suite à la délibération de la CCVL et n'a jamais validé la modification des statuts donc la prise de compétence transport urbain. N’ayant pas de réponse sur la création d’un PTU, il est normal que le Préfet n’ait jamais donné suite…

12 février 2010: vote de la CCVL demandant son adhésion au Sytral à la demande d'une majorité de conseillers communautaires alors que la CCVL n'avait pas la compétence. Elle n'a été suivie d'aucun effet. Cette délibération a-t-elle effectivement été transmise aux services préfectoraux ?

29 avril 2010: le Sytral présente le redéploiement de son offre (Atoubus). Mise en place des lignes express sans augmentation de fréquence sur notre secteur. C’est normal, nous ne sommes pas dans son PTU !

- 30 juin 2010: le Conseil Général présente à la CCVL le redéploiement de son offre.
- 29 décembre 2010: le Syndicat Mixte Départemental des Transports (SMTR) est présenté aux intercommunalités pour leur proposer l'adhésion afin de favoriser l'amélioration de l'offre au 1 janvier 2013. Le SMTR a été  créé le 20 juillet 2012, il n’existait pas en 2010 ! Il faudrait plutôt écrire que le Conseil général a proposé de créer ce futur syndicat pour préparer une solution dans le cas probable du désengagement définitif du Sytral.

- 14 février 2011: le projet est présenté à la CCVL par le Conseil Général.
- 28 avril 2011: le bureau de la CCVL et les maires rencontrent le président du Sytral qui explique ne plus savoir si l'adhésion de la CCVL est possible. Etant donné que l’adhésion de 5 communes de la CCVL + Chaponost s’est révélée possible juridiquement, cette remarque s’avère inutile et gratuite.

- 30 juin 2011: après des échanges, le département fait une proposition d'évolution du service aux communes de la CCVL: desserte de Messimy/ Thurins par ligne express St Symphorien/ Gorge de loup, 2 liaisons en boucle desservant le centre des villages. Maintien du service Sytral par un conventionnement avec le Sytral.
Cette proposition ne convient pas aux communes de Messimy et Thurins parce que la ligne express ne passe pas par le centre de la commune.
A partir de là le Sytral, a négocié avec certaines communes pour qu'elles adhèrent parce qu'il tenait à avoir un périmètre autre que celui du Grand Lyon, sinon la loi le faisait disparaître en tant que tel. Ces suppositions ne sont étayées par aucun argument. C’est dommage ! Il est fort douteux que ce genre de discours ait pu entraîner l’adhésion de communes aussi différentes politiquement que Brindas et Chaponost. Est-il utile de jeter ainsi le discrédit sur des élus locaux qui ont pris leur décision dans l’intérêt général, et après consultation de leur population ?

- 13 mars 2012 : une réunion est prévue à 20h30 à l'initiative de la mairie entre le Sytral et le conseil municipal. Il s’agissait d’une commission générale du Conseil municipal et non d’une réunion publique qui aurait permis d’informer la population.  A 18 heures un coup de téléphone avertit que le président du Sytral ne souhaite pas que ses représentants viennent à cette réunion. Les représentants en question étaient des techniciens. Le président du Sytral a jugé que ce genre de réunion ne pouvait être assurée que par des élus et non par des techniciens. Il aurait été bien sûr possible de trouver une autre date.

- 3 avril 2012: le Sytral entérine l'adhésion des communes de Brindas, Chaponost, Messimy, Thurins.
 Grézieu et Ste Consorce, craignant la fin, du service adhèrent aussi.
 Manifestement, le fait que le Sytral poursuit un intérêt différent de celui du transport lui-même est apparu d'une manière évidente lorsque le département, dont notre commune dépend en ce qui concerne les transports, a proposé au Sytral la prise en charge de la partie de ligne C24 intéressant la commune et qu'il s'est vu refuser cette proposition pourtant intéressante pour tout le monde et surtout pour les finances publiques en général. Le problème se pose également dans l’Est lyonnais. Le Sytral ne peut pas  négocier des conditions de conventionnement au cas par cas. L’égalité de traitement des citoyens devant le service public exige le même acte pour toutes les communes qui pourraient souhaiter cette solution. Le Sytral est toujours sous le coup réitéré de l’injonction de la Chambre régionale des comptes qui le somme de respecter le principe de l’égalité devant l’impôt.

Entre avril 2012 et juillet 2013, il s’est quand même passé quelques événements !

Le 8 avril 2013, Union Pour l’Avenir a organisé une grande réunion publique à Vaugneray, qui a été LA SEULE OCCASION pour la population de s’informer et de débattre de ce dossier.
Une pétition papier a recueilli plus de 1200 signatures pour réclamer l’adhésion au Sytral. Une pétition internet a recueilli plus de 800 signatures avec le même objet.

La démarche citoyenne de ces habitants n’a soulevé aucune réponse de la municipalité allant dans le sens du dialogue. Jamais le Conseil municipal n’a été saisi ouvertement de la question des transports. Tout s’est déroulé dans le huis clos du bureau du maire.

- 8 juillet 2013: mise en place d'un service de transport par le SMTR. Il comprend une ligne régulière Vaugneray-Craponne L47 (un service par heure, non accessible aux personnes en situation de handicap), un service de lignes scolaires ouvertes à tous (surchargées et jamais utilisées par d’autres personnes que les scolaires concernés) avec une liaison nouvelle en direction de Lyon 5ème et un service de transport à la demande (non accessible aux personnes en situation de handicap et d’un fonctionnement très rigide) pour les zones les plus éloignées de la commune.

La disparition de la ligne TCL a provoqué une vive émotion qui s'est traduite dans des pétitions écrites ou par internet. Nous avons répondu ( ?) autant que faire se peut à cette inquiétude par un travail assidu auprès du SMTR pour adapter son offre, notamment en transport scolaire, en recueillant les demandes des uns et des autres, en étudiant les horaires, en faisant remonter au transporteur tous les disfonctionnements repérés et qui ne manquent pas de se produire à la mise en place d'un nouveau service. Il aurait été bien de réunir la population pour faire le point publiquement, c’était évident !

Ce travail a consisté également à rechercher les solutions pour que la commune puisse participer à l'amélioration de l'offre du Département ce qui a conduit à la mise en place de la navette entre Vaugneray et les Quatre-Chemins à partir du 9 décembre 2013. Le tarif était aussi un élément qui revenait souvent dans les questions des usagers. Par des délibérations successives, le conseil municipal a fait en sorte que le changement de service ne soit pas trop pénalisant pour les utilisateurs du service qui étaient habitués à ce que la commune finance le deuxième ticket depuis 2001. (Les tarifs sociaux pratiqués par le Sytral sont actuellement inexistants dans la solution Département. Ils sont pris en charge par le CCAS de Vaugneray, ce qui grève encore le coût pour la commune)

- Aujourd'hui nous avons un service régulier qui propose, par jour, 31départs de Vaugneray en direction de Lyon en période scolaire et bien sûr 31 retours (18 par les cars du Rhône, 13 par la navette communale) avec une fréquence totale aux heures de pointe que nous n'avons jamais connue jusque-là. La navette communale ne fonctionne qu’aux heures de pointe et pas le weekend ni au mois d’août. Elle est le plus souvent quasi vide car les habitants ont repris leur voiture… 

La rapidité, l'accueil des conducteurs, le confort et la tranquillité dans les véhicules semblent appréciés. Les lycéens qui se rendent dans les différents lycées de Lyon 5eme gagnent du temps de transport pouvant atteindre une demie heure. Ils ont tous droit à l'abonnement DUO qui leur permet d'utiliser les deux réseaux Cars du Rhône et TCL. Les personnes éloignées d'un arrêt de transport en commun peuvent bénéficier du transport à la demande depuis leur porte. Les départs de Vaugneray pour les personnes sans handicap sont relativement assurés, même si la rupture de charge est diversement appréciée par ceux qui ont encore 2 ou 3 bus ou métro à prendre pour se rendre sur leur lieu de travail ou d’étude. Par contre, le retour est un véritable parcours du combattant, les correspondances 2Ex-47-navette sont aléatoires, les usagers pratiquent la marche à pied à partir des 4 Chemins ou investissent le parking du Centre Leclerc.

Pour ce qui est du tarif, les abonnés acquittent le même montant que l'abonnement TCL, les abonnés scolaires bénéficient du tarif départemental qui est nettement plus avantageux que le tarif TCL (de135à 185€ au lieu de 205€) ce qui n'est pas négligeable pour les familles surtout lorsqu'elles ont plusieurs enfants scolarisés.  L'implication tarifaire de la commune fait que les personnes peuvent se rendre à Gorge de Loup pour 1 euro ou même pour 70 centimes en utilisant une carte de 40 trajets (tarif sans concurrence pour parcourir 14 kms). Les non-abonnés (visiteurs des établissements de soins, randonneurs…) paient le prix fort. Il est vrai que les randonneurs se tournent maintenant plus volontiers vers Thurins ou Messimy, et que les malades ont le choix d’autres hôpitaux sur l’agglomération…
           
Sur le plan financier, les transports sur l'année 2013 ont coûté à la commune, en ajoutant la part Sytral sur 6 mois, le versement transport à 0,5% sur 6 mois, la charge tarifaire sur 6 mois et 1 mois de navette, environ 30 000€.
Le prélèvement sur les entreprises a représenté 45 000€.

            Pour l'année 2014, les transports vont coûter en ajoutant le versement transport à 0,5%, la charge tarifaire et la navette, environ 82 000€ et 90 000€ pour les entreprises. Soit au total sur les deux années, 112 000€ pour la commune et 135 000€ pour les entreprises.

             Si les circonstances avaient fait que la commune ait adhéré au 1er janvier 2013, comme Brindas, Chaponost, Messimy ou Thurins ou Sainte-Consorce ça lui aurait coûté en ajoutant la participation au Sytral 10€/habitant et le versement transport à 1%, sur 2013, environ 50 000€ et aux entreprises 90 000€. Sur 2014, la contribution de la commune s'élèverait à 70 000€ et pour les entreprises à 90 000€. Sur les deux années nous avons donc un total 120 000€ pour la commune et 180 000€ prélevés sur les entreprises.

Les chiffres du maire concernant la commune pour 2014 sont justes, c’est nous qui les avons fournis au Conseil municipal !  Mais :
-         -  Personne ne connait exactement le coût pour les entreprises, surtout à 1000 euros près…
-   - Il est hasardeux de prendre en compte 2013 où le système s’est mis en place dans des circonstances chaotiques.
-           
Mais soit ! on a quand même une dépense communale de 120 000 € sur 2 ans dans le cas Sytral, contre une dépense de 160 000€ pour la solution départementale ! C’est le maire lui-même qui le dit et qui reprend nos chiffres.

Ce sont donc 40 000 € de nos impôts locaux qui sont versés au Département et aux Cars Venet pour éviter que les entreprises de Vaugneray de plus de 9 salariés soient assujetties au versement transport.

Comment peut-on comparer
Comment peut-on comparer en effet ?

             Nous constatons que, contrairement à ce qui a été dit ici ou là, le fait que la commune reste dans le champ de compétence du département est avantageux même sur les deux premières années à la fois pour la commune (non !pas avantageux pour la commune!) et les entreprises (oui! c’est un choix et il faut l'assumer clairement !) et aussi pour les familles qui économisent au total environ 15 000€ par an par la différence de coût de l'abonnement scolaire comme vu plus haut ( l'abonnement DUO n'est pas particulièrement plus avantageux, le plafond du quotient familial est vite atteint ). 

Cette différence s'accentue sur les années suivantes puisque le lissage offert aux communes pour faciliter de l'adhésion au Sytral disparaît et nous arrivons à une dépense  annuelle de 110 000€ pour la commune (Faux ! la solution Sytral ne coûtera jamais plus de 97 500 euros par an à la commune, car elle bénéficie des mêmes subventions que la solution Département)  et de 320 000 € pour les entreprises, ce qui devient exorbitant en regard de la faible utilisation du service par les employés de ces mêmes entreprises. Cette nouvelle charge est un frein à l'emploi. C’est aussi hélas un frein au recrutement, en CDD, en intérim, en stagiaires… un frein aux randonneurs et un manque à gagner pour les commerces…

            En conclusion, nous pouvons dire qu'un nouveau service existe avec de vrais arguments positifs tout en privilégiant l'emploi ( ?) et les familles ( ?)  même si des inconvénients peuvent encore apparaître pour certains usagers (les personnes en situation de handicap, les personnes avec de très faibles ressources…). 
Le fait d'être dans la compétence départementale nous place dans la même situation que bon nombre de communes de la deuxième couronne et nous ne serons pas seuls pour discuter à la mise en place du syndicat qu'il est maintenant prévu de créer entre la Métropole et le reste du département.

Précisions : Le SytralE (E pour étendu) prévoit 3 zones en fonction du taux de versement transport qui sera appliqué, et donc 3 niveaux de services :
·       -  le PTU actuel du Sytral (avec bien sûr les communes qui l’ont rejoint en 2012 et 2013,
·         - la CAVIL (agglomération de Villefranche) et la Communauté de communes de l’est lyonnais (qui rejoindra peut-être le Sytral avant la création du SytralE),
·        -et enfin les zones non urbaines (dont Vaugneray).
·          


Tirez vous-mêmes les conclusions qui s’imposent ! Et faites circuler ce texte !

Portraits de colistiers: Brigitte CHAMBOURNIER, sportive impliquée dans la vie associative


Brigitte CHAMBOURNIER, sportive impliquée dans la vie associative

Brigitte Chambournier, 65 ans, mariée, 2 enfants, graphiste retraitée, habite « Le Moulin à Vent » à Vaugneray depuis 2002. 

Issue de parents germano-belges, Brigitte a fait ses études à l’école allemande de Bruxelles, elle est donc bilingue.  Après des études d’arts décoratifs et de publicité a Bruxelles, elle a exercé  son métier de  graphiste à Lyon.

Ayant toujours pratiqué le sport (moto, natation...), Brigitte a  été naturellement bénévole pour différents clubs, elle est à ce jour bénévole pour l’USOL. Le bénévolat l’a aussi mené vers des associations caritatives telles que les Restos du cœur, l’Association des familles ou le Secours Populaire.
Ces expériences lui ont permis de constater à quel point la vie associative est importante pour maintenir le dynamisme et renforcer le lien social d’une commune. 

Les voyages aussi,  sont pour Brigitte une source de découverte et d’enrichissement, au travers des rencontres d’autres peuples et de leurs coutumes.

Pour Brigitte, Vaugneray  représente un bon compromis entre la campagne et la ville. On y retrouve le charme des coteaux boisés et des pâturages fleuris, des cols et  sommets  vivifiants, qui sont un appel à la randonnée et autres promenades familiales. Et ceci à seulement 15 km du centre  de Lyon.

La candidature de Brigitte sur la liste  d’Union Pour l’Avenir, est motivée par le désir de mener à bien à  la fois l’ouverture du village vers l’extérieur,  et la préservation et le développement du potentiel  actuel de Vaugneray.
 C’est ce qu’elle retrouve dans le programme proposé par Joëlle Chamarie pour Union Pour l’Avenir.

mardi 25 février 2014

Sondage IFOP pour Femme Actuelle: "Les Français veulent plus de femmes maires!"

L'un de nos colistiers, dont l'épouse est abonnée à Femme actuelle, nous a transmis cette nouvelle d'importance: "Les Français veulent plus de femmes maires!"
En effet, selon un sondage IFOP réalisé du 14 au 16 janvier 2014 pour cet hebdomadaire
, sur un échantillon représentatif de 1004 personnes:

-70% des Français souhaitent qu'il y ait plus de femmes maires
-54% des Français veulent qu'une femme soit élue maire de leur commune
-55% des Français estiment qu'hommes et femmes font de la politique de manière différente
-72% des Français jugent les femmes maires plus au contact des réalités que les hommes
-82% des Français les considèrent plus à l'écoute des citoyens
-92% des Français pensent que la lâcheté est plutôt masculine
-78% des hommes se trouvent plus cupides et plus indifférents que les femmes
-89% des Français estiment qu'une femme est plus honnête
-51% des Français accusent les hommes d'amateurisme
-82% des femmes attendent de leur maire qu'il agisse en priorité sur l'emploi
-81% des sondés ayant un revenu mensuel inférieur à 1200 € placent l'emploi au sommet de leur priorités

Que conclure de ce sondage?
Au premier abord, au vu des résultats de ce sondage, Union Pour l'Avenir ne peut que se réjouir d'avoir choisi une femme comme tête de liste pour les municipales!

Allons plus loin cependant.
Si la moitié des élus de communes similaires à Vaugneray sont des femmes (loi sur la parité oblige), on compte seulement 13,8% de femmes maires.
Si l'on estime que les femmes font de la politique de manière différente, ne serait-ce pas tout simplement parce que les stéréotypes ont la vie dure?
Si les femmes bénéficient d'un surcroît de crédibilité, ne serait-ce pas parce que les valeurs d'intégrité, d'engagement, de dévouement, restent associées à la figure maternelle?

Sans entrer dans une discussion sur les études de genre, il nous semble que les compétences et le talent ne sont pas affaires de sexe. Si crèches et garderie ne sont pas les premières priorités des femmes, c'est parce qu'elles sont concernées avant tout et comme les hommes, par l'emploi et la sécurité.

En fait, ce que démontre ce sondage, c'est que les priorités des électeurs ne varient pas en fonction de leur sexe, mais de leurs revenus.
 (d'après Femme actuelle n° 1534 du 17 au 23 février 2014)

Portraits de colistiers: Etienne FAVEEUW, le basketteur globe-trotter


Etienne FAVEEUW, le basketteur globe-trotter 

Etienne FAVEEUW, 25 ans, a toujours vécu sur la commune deVaugneray dans le Hameau de Cunieux.
Après de nombreux voyages et différentes activités, Etienne travaille depuis 4 ans à Lyon dans un centre de traitement de l’information de la sécurité sociale.

 Etienne est un globe-trotter, il aime les voyages et les rencontres mais aussi les  moments simples entre amis dans son village de Vaugneray et tout autour du monde.
Etienne est  basketteur,  il a été licencié à l’USOL Vaugneray-Brindas pendant plus de 10 ans d’abord en tant que joueur puis ensuite comme entraîneur. Il a toujours aimé l’ambiance du club de l’USOL et il tire fierté d’avoir défendu les couleurs de Vaugneray à travers la région.

Très attaché à son village, Etienne a décidé de rejoindre la liste d’Union Pour l’Avenir afin d’apporter ses compétences et de soutenir un programme qui lui tient à cœur.
« Si je devais raconter Vaugneray, je dirais tout simplement : Imagine en montant dans les hauteurs admirer le soleil se lever derrière les Alpes, et contempler les lumières de la ville de Lyon une fois la nuit tombée… » .


lundi 24 février 2014

Réponse d'Union Pour l'Avenir à la Sauvegarde des Côteaux du Lyonnais

Voici les réponses données par Union Pour l'Avenir au questionnaire adressé par la Sauvegarde des Côteaux du Lyonnais à tous les candidats aux élections municipales de mars 2014

Madame, Monsieur,

Vous êtes actuellement élu communal ou bien vous souhaitez le devenir.
Votre avis concernant l'avenir de l'Ouest Lyonnais et les projets de maillage autoroutier nous intéresse ainsi que la plupart des citoyens de la commune.

Nous aimerions connaître vos engagements, remarques et suggestions permettant de mieux appréhender la gestion municipale des six années à venir et au-delà.
  
Merci de bien vouloir répondre personnellement à ce questionnaire et nous le retourner avant le 8 mars 2014. Retour fait le 23 février 2014
  
Commune :VAUGNERAY
Nom, prénom: CHAMARIE Joëlle
Liste : Union Pour l’Avenir

Quelles sont vos principales ambitions pour votre commune ?
-mettre en place une démocratie participative
-gérer la transition énergétique de manière globale
-renforcer l’intercommunalité pour peser face au Grand Lyon

  1. Sur le plan de l'urbanisation et du cadre de vie
 §  Aujourd'hui, votre commune compte  5 038. habitants
§  A-t-elle dépassé le nombre d'habitants souhaitable ?                                                   NON
§  Sinon, pour une bonne qualité de vie à long terme,
elle ne doit pas dépasser  5 600 habitants (SCOT/PLH).
§  Estimez-vous nécessaire de fixer une limite à l'urbanisation ?                                    OUI
§  Êtes-vous prêt / prête à respecter scrupuleusement les prescriptions du SCOT ?    OUI
§  Envisagez-vous de participer à l'équilibre communal et intercommunal
en favorisant le rapprochement du travail, de l'habitat, de la culture et des loisirs ?    OUI
Faut-il promouvoir le maintien voire le développement de l'agriculture
de proximité ?                                                                                                                OUI
§  Faut-il promouvoir l'embauche, le commerce et l'approvisionnement
locaux ?                                                                                                                          OUI
§  Pour les communes en dehors du Grand Lyon : souhaitez-vous que votre
Commune soit intégrée à la Communauté Urbaine qui devient Métropole ?                NON

Précisions complémentaires éventuelles sur les questions ci-dessus :
-Curieusement, toutes ces questions avec nos réponses ci-dessus sont dans notre programme ! Nous sommes faits pour nous entendre…

  1. Sur le plan du transport
§  Le maillage autoroutier A89 / TOP / COL /A45 aussi près de Lyon ne risque-t-il pas d'avoir
pour conséquences l'accélération de l'étalement urbain difficilement maîtrisable,
la croissance du trafic et les pollutions associées ?                                                     OUI
Compte tenu de la croissance exponentielle du trafic induite par toute
nouvelle structure routière :
-       Etes-vous pour une politique de réduction de tous les déplacements             NON
-       Etes- vous favorable au projet A45 ?                                                                 NON
-       Pensez-vous que le TOP (Tronçon Ouest Périphérique) doit être construit ? NON
-       Donnerez-vous la priorité aux transports en commun avec création de
nombreux parcs-relais suffisamment éloignés du centre de Lyon ?                OUI
-       Lutterez-vous contre les effets pervers – notamment l'étalement urbain –
engendrés par l'augmentation de l'offre de transport en commun ?                 ?

Précisions complémentaires éventuelles sur les questions ci-dessus :
-
-La liberté d’aller et venir est constitutionnelle. On ne peut pas avoir une politique de réduction de TOUS les déplacements. Mais on peut agir pour essayer de rapprocher domicile et lieu de travail ou de loisirs par exemple.
-
-L’étalement urbain n’est pas une conséquence de l’offre de transports en commun, il se produit de toute façon, surtout pour une commune située à 15km de la place Bellecour. Par contre l’offre de transport en commun est indispensable pour diminuer pollution et dépenses énergétiques.

  1. Sur le plan de vos engagements communaux
 §  Etes-vous prêt / prête à poursuivre la réflexion intercommunale sur l'avenir de
l'Ouest Lyonnais ?                                                                                                         OUI –
§  Prévoyez-vous d'appuyer la participation de votre commune au fonctionnement
de l'association de communes et d'élus ALCALY ?                                                      OUI –
Etes-vous disposé / disposée à exprimer votre éventuelle – et souhaitable –
opposition de votre commune au maillage autoroutier par :
-          une communication régulière dans les publications municipales ?                  OUI –
-          un engagement public durable à tous les niveaux de vos contacts ?               OUI –
-          la mise en place de panneaux à toutes les entrées de la commune ?             OUI
-          l'indication, dans l'en-tête de tous les courriers municipaux, quels qu'en
soient les destinataires, de l'adhésion de votre commune à ALCALY ?           OUI –
votre refus d'intégrer un fuseau autoroutier dans le POS / PLU ?                    OUI
§  Comptez-vous manifester votre position, par écrit, par votre présence, par vos
prises de parole, … auprès des différentes assemblées (Communautés de
Communes, Conseil Général, Conseil Régional, Assemblée Nationale, Sénat,
Ministères, Instances Européennes, etc.) que vous en soyez membre ou non ?        OUI

Précisions complémentaires éventuelles sur les questions ci-dessus :
-
-La réflexion intercommunale sur l’avenir de l’ouest lyonnais est une des préoccupations premières de notre programme, elle seule permettra à l’ouest lyonnais de peser face au Grand Lyon et à la future métropole. La métropole a besoin de nous et nous avons besoin d’elle. Il existe le périmètre du SOL qui est déjà cohérent, mais peut encore être élargi à un bassin de plus de 100 000 habitants. Il faut sortir du schéma intercommunal actuel, avec une intercommunalité forte et des communes fortes.