mardi 25 février 2020

Portrait de colistiers: Jean-Luc Bibos, stop à la destruction de la terre, patrimoine de nos enfants!

Bonjour,


Je suis Jean-Luc BIBOS, 65 ans. J'ai travaillé à la Caisse d'Épargne, puis dans l'informatique pour terminer comme artisan électricien spécialisé dans la domotique et les panneaux solaires. J'habite à Vaugneray depuis des décennies.

Je suis sur cette liste parce que je veux que l'on protège le bien commun, que l'entraide et la fraternité soient des valeurs évidentes, et qu'on arrête de détruire le patrimoine de nos enfants, la terre.

Il faut établir un vrai plan de circulation pour le village. Avec des voies à sens uniques, des places de parkings pourraient être créées dans le centre village pour rendre les piétons prioritaires, réduire encore plus la vitesse. Les jours de marché ou de manifestations, interdire la traversée à tous les véhicules de plus de 3,5 tonnes.

Il faut obliger les propriétaires à déclarer, à faire analyser à la source les dépôts de terre et remblais, et à compenser la perte de biodiversité entraînée par ces travaux.

Il faut mettre en œuvre l'extinction des éclairages publics votée par le Conseil municipal: le remplacement des luminaires peut très bien se programmer après la mise en œuvre de l'extinction nocturne (voir toutes les autres communes limitrophes!). 

Il faut revenir au C24 et à une offre renforcée de transports en commun.

Il faut aider les agriculteurs à mieux comprendre le changement climatique: moins de culture de plantes qui demandent beaucoup d'eau (maïs par exemple), utilisation de nouvelles espèces fourragères (ça existe déjà à Vaugneray), passage au bio… Inciter les habitants à utiliser les circuits courts, à faire travailler les entreprises locales…

Il faut protéger la biodiversité en réduisant les pressions sur la faune et les forêts
- informer sur les avantages de ne plus détruire systématiquement des espèces animales tels que renards, blaireaux..., 
- préserver les nids d'hirondelles et de martinets en informant les propriétaires qui envisagent des travaux, 
- lutter efficacement contre les espèces envahissantes, plantes, insectes, sangliers (demander aux chasseurs de ne plus pratiquer l'agrainage), 
- inciter à replanter les forêts en essences qui supporteront mieux le réchauffement climatique, 
- replanter des haies le long des chemins communaux et inciter les propriétaires à en replanter (haies sauvages bien sûr), 
- expliquer les inconvénients pour la faune de la taille des haies du printemps à la fin de l'été, 
- éviter les fauchages inutiles, 
- éviter dans nos bois les coupes rases qui sont à proscrire si l’on veut préserver l’écosystème en place, les habitats et les fonctions écologiques de la forêt, 
- laisser en place par exemple les grands arbres avec des cavités ou des trous de pics…, 
- instaurer des "sanctuaires" là où des spécialistes repèrent des espèces protégées...

Tout ceci est conforme au projet d'Union Pour l'Avenir, auquel je souscris pleinement.


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